FO Énergie et Mines de FESSENHEIM rencontre François HOLLANDE. Une délégation FO du CNPE de Fessenheim a rencontré François HOLLANDE pour lui indiquer la nécessité de poursuivre l’exploitation de la centrale nucléaire. Cette démarche s’inscrit dans la continuité des actions menées par FO Énergie et Mines  auprès des responsables politiques locaux et nationaux, exprimant la volonté de vouloir fermer la centrale nucléaire de Fessenheim, comme l’avait fait le conseil municipal de Strasbourg,  composé des élus Verts, PS et UMP ( moins une abstention).

FO Énergie et Mines de FESSENHEIM rencontre François HOLLANDE

Une délégation FO du CNPE de Fessenheim a rencontré François HOLLANDE pour lui indiquer de la nécessité de poursuivre l’exploitation de la centrale nucléaire.

Cette démarche s’inscrit dans la continuité des actions menées par FO Énergie et Mines  auprès des responsables politiques locaux et nationaux, exprimant la volonté de vouloir fermer la centrale nucléaire de Fessenheim, comme l’avait fait le conseil municipal de Strasbourg,  composé des élus Verts, PS et UMP ( moins une abstention).

Le candidat a exprimé sa volonté de fermer Fessenheim pour des raisons  de zone géographique soumise à la conjonction de risques naturels  importants et la nécessité de lancer la transition Energétique.

Les représentants FO du CNPE ont indiqué, ne  pas  partager ce choix politique qui laisse plus à penser que cette fermeture annoncée lance le  "la" d'une autre politique énergétique plutôt que d'un choix rationnel exclusivement assis sur des éléments de sûreté.

La délégation a mis en avant que Fessenheim représente 680 salariés et 200 prestataires permanents, synonyme de bassin d’emplois pour la région Alsacienne, dans une période de crise où nous n’avons pas le droit de fragiliser les familles et les industries.

François HOLLANDE s’est engagé à maintenir l’emploi sur cette zone d’activité notamment sans aucune suppression d’emploi sur le site, envisageant la construction d'une centrale à GAZ et l'installation de l'institut du démantèlement.

Constatant l’insatisfaction de la délégation syndicale et le refus de voir fermer la centrale, il s’est engagé à se déplacer sur le site dans les prochaines semaines, entre les deux tours de l’élection présidentielle.

Les représentants FO Énergie et Mines, mesurant l’impact de cette décision sur l’emploi, entendent continuer à défendre en toute indépendance, les salariés travaillant sur le site et attendent de « pieds fermes » le candidat.