Le temps des vacances a créé une illusion de pause, le gouvernement et nos dirigeants ont continué leur route en arbitrant sur les enjeux économiques et sociaux.

Pendant ce temps, les citoyens ne perçoivent toujours pas les bienfaits tant chantés de la libre concurrence énergétique. L’ensemble de ce secteur national, mais aussi européen, peine par des politiques inconstantes, de l’ultralibéralisme poussé à la caricature. Entre centralisme et centralisation, le débat demeure stérile et fragilise nos emplois et nos industries.

Aujourd’hui, les rapports socio-économiques arrivent à leur paroxysme.