Quelques semaines après le débat national sur la transition énergétique (DNTE) a montré qu’il n’y avait pas de consensus, en particulier sur la réduction de la part du nucléaire à 50 % en 2025, pas plus que sur la fermeture de Fessenheim.

Aujourd’hui, de plus en plus d’acteurs en Allemagne dénoncent l’échec de la politique de sortie du nucléaire et du développement à marche forcée des énergies intermittentes (solaire et éolien).

C’est en ce sens que se prononce le rapport publié le 11 septembre dernier, par l’Office Parlementaire des choix technologiques du Sénat et de l’Assemblée Nationale.

Il souligne que la réduction à 50 % de nucléaire en 2025 serait « l’équivalent de l’effacement de consommation de plus d’un jour d’électricité par semaine ».

Signe du malaise du gouvernement, le débat sur le projet de Loi sur la transition énergétique n’aura pas lieu avant l’automne 2014, soit après les municipales…