Fin juin, l’État français vend 3.1 % du capital groupe énergétique GDF Suez, une opération qui renflouerait les caisses de 1.56 milliard d’euros et compenserait, en partie, son entrée dans le capital d’Alstom. Encore un arbitrage qui sert des visées industrielles éloignées des intérêts de GDF Suez.

Questions : pourquoi GDF Suez est-elle ainsi réprouvée ? Pourquoi l’État augmente-t-il ainsi la défiance entre les énergéticiens ?

Pour répondre à ces questions, vous trouverez en pièce jointe la lettre du DSC de GDF Suez pour le mois de juillet 2014.