Lors de la crise du Covid-19, tous les soirs nous applaudissions les travailleurs de la « première ligne », en soutien au caractère essentiel de leur métier. Les salariés de la deuxième ligne attendaient, eux, une reconnaissance de leur implication essentielle, salariale et professionnelle. Les confinements et le port des masques sont loin derrière nous mais tous les salariés de la « deuxième ligne », dont le travail a été salué pendant la crise sanitaire, continuent d’assurer les services essentiels, comme ils l’ont toujours fait avant, pendant et après, sans applaudissements et sans reconnaissance de leur métier. […]
