Ces dispositifs ont été mis en place en 2008 pour limiter les dépenses de l’État en matière de santé et « responsabiliser » les patients sur leur consommation de soins. Les complémentaires santé n’ont pas le droit de rembourser ces participations.

Deux décrets publiés au Journal officiel le 17 février 2024 prévoient le doublement de la participation forfaitaire sur les consultations et les actes médicaux et pour les franchises médicales.