Si depuis les premiers accords EGA PRO au sein des IEG nous avons pu constater des évolutions, il reste encore beaucoup à faire. Aujourd’hui la loi Avenir impose une note « l’Index Ega Pro » pour donner une idée du traitement du sexe le plus faiblement représenté dans les entreprises. Mais cette note dépend, pour chaque indicateur, des groupes de référence retenus.

À FO nous défendons qu’il est indispensable de définir des actions et des engagements concrets dans un accord.

C’est pourquoi nous revendiquons :

  • La neutralisation des périodes de maternité sur la carrière des femmes.
  • « 0 » incidents sexistes ou violences à l’encontre des femmes dans les entreprises des IEG.
  • Une égalité salariale qui tient compte de l’ancienneté, du diplôme, de l’âge des salariés.
  • Plus de mixité, avec la mise en œuvre de dispositifs concrets et adaptés aux évolutions des métiers.
  • Des indicateurs pertinents et ambitieux pour rattraper et effacer les écarts pour avancer vers un objectif d’égalité à 100 %.